Dominique Thirion est antiquaire et passionné par les arts en général. Son rêve de créer à son tour s'est réalisé par la découverte de la photographie numérique. Il forme son regard par des stages à l'Atelier Contraste, la visite d'expositions, la lecture, l'exploration des possibilités de ce médium et en réfléchissant sur ce qu'est une image.
Son premier travail, en 2007, « Errance marocaine » fut une errance (dans le sens que lui donne Depardon) à Zagora et à Marrakech. Suit « Mourir en beauté » une observation de la maladie et de la mort et « Ramures et évasions », clin d'oeil à Kikie Crêvecoeur .
Vinrent ensuite « Der Himmel über Brüssel » réflexion sur la belgitude au travers de son ciel, « Angels » une méditation sur la mémoire, puis une balade dans des « Lieux improbables », ainsi qu'une interprétation du boeuf écorché de Rembrandt «Tentation».
Il explore aussi le multi-média avec la création d'un diaporama multi-écrans qui permet un dialogue spatial et temporel entre les images (« Ma Jordanie »).
Puis, pour imposer une ligne et une durée, création d'un diaporama multi-écrans qui permet un dialogue spatial et temporel entre les images (« ma Jordanie »).
Et pour créer confrontations et/ou complémentarités entre images fixes et animées, réalisation de videoramas qui mixent photos et fragments de vidéo (« Catastrophes », «E tu... chi sei?!», « Arras », « Halong », Kassel.doc).
Introduction aussi de la voix off, pour donner au texte son importance, dans un dialogue entre les effigies sur les tombes du cimetière de Samarcande et les pensées d'Omar Khayyam (« Samarcande »).
Enfin, première fiction dans une méditation poétique sur l'icône de la fillette brûlée au napalm de Nick Ut, « Décalogue α ».
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